Le Défi 28 jours sans alcool
Une pause à la consommation d’alcool qui est là pour rester
Avec un don moyen en hausse chez plus de 13 235 participants qui a permis à la Fondation Jean Lapointe de récolter 958 000 dollars, le Défi 28 jours sans alcool est là pour rester. Du reste, les Québécois ont pris conscience de la place que l’alcool prenait dans leur vie et ont réalisé les bénéfices d’une pause de plusieurs semaines sur leur santé.
Une campagne de sensibilisation efficace
Créé il y a 10 ans, le Défi 28 jours sans alcool est avant tout une campagne de sensibilisation. Ainsi, en février, plus de 13 235 participants aux quatre coins du territoire ont relevé le défi de ne pas boire pendant un mois.
« Nous savons qu’avec la portée obtenue ces dernières années, à la fois dans les médias et réseaux sociaux, ainsi que dans les communautés, le Défi demeure un levier significatif d’éducation et de sensibilisation! » – Louis-Raymond Maranda, directeur général de la Fondation Jean Lapointe.
Un groupe de soutien indispensable
D’ailleurs, un nouveau groupe Facebook a été créé afin de permettre aux participants d’échanger sur leurs expériences du Défi. La Fondation a constaté que la communauté est tissée serrée et qu’un groupe de soutien est indispensable au succès. Ceux qui désirent poursuivre leur Défi et rester connecter avec la communauté pourront le faire toute l’année dans le groupe La gang du Défi.
À propos de la Fondation Jean Lapointe
Depuis ses débuts en 1982, la Fondation Jean Lapointe est rapidement devenue un chef de file philanthropique dans la lutte contre l’alcoolisme, la toxicomanie et autres dépendances qui affectent la population, et plus précisément les jeunes adolescents du Québec. Grâce à ses sollicitations et ses événements-bénéfices (dont le renommé Défi 28 jours sans alcool MC) et à l’implication de ses partenaires, donateurs et bénévoles, la Fondation Jean Lapointe soutient financièrement les programmes de prévention de la Maison Jean Lapointe abordant les sujets de l’alcool et des autres substances, l’hyperconnectivité et les jeux d’argent.