Industrie et commerce

Boucherie

Frédéric Jean veut faire revivre un commerce de proximité

Frédéric Jean a toujours la volonté d’ouvrir rapidement une boucherie de proximité avec permis de débitage en dépit des derniers événements.

D’ailleurs, c’est ce projet qui avait été mis de l’avant avec le locataire, Éric Boucher, propriétaire de Boucherie J-C Fortin, avant que tout ne foire.

« Lui, son but était de repartir la boucherie. Il commençait avec de la viande de gibier. Puis, il voulait repartir le comptoir [de ventes au détail] pour les fêtes. Jusque-là, assure-t-il, tout allait bien. »

De sa mésaventure, Frédéric assure vouloir être très vigilant.

«Je vais être encore plus d’équerre à qui je vais louer.»

Un «excellent potentiel»

Frédéric Jean croit toujours que la boucherie a «encore un excellent potentiel». Pour preuve, il avance que trois autres entreprises ont démontré de l’intérêt dont une qui visitait les lieux le 18 novembre.

En parlant du projet de relance: «C’est une très belle entreprise, une entreprise du coin qui veut s’établir pour faire du débitage de ses propres animaux et éventuellement refaire le détail à l’avant.»

L’entreprise visiteur du site dont il a tu le nom a déjà ses propres bouchers. «Elle a besoin de monter sa capacité. Elle a trippé sur l’endroit», affirmant du coup qu’elle est en processus de demande de permis C1 au MAPAQ, permis qui permettrait la transformation et la vente en gros des produits carnés.

Lorsque le journaliste lui indique qu’il existe actuellement une boucherie à Saint-François, Frédéric Jean rétorque que «il y en a une, mais c’est pas ce que la boucherie était».

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